lundi 21 décembre 2015

La prochaine leçon d'EMC qui résume la vidéo...



Comment devenir
un chevalier ou une chevaleresse
des temps modernes ?




1. Tes mots sont comme des épées
Ta parole est comme une épée : à double tranchant.
Les mots peuvent faire du bien (aimer, rigoler, réconforter) ou du mal (blesser, rendre triste).
Choisis tes mots avec prudence car ils sont aussi puissants que des armes.
2. Ton bouclier sert à te protéger
Grâce à ton bouclier, tu peux ne pas être d’accord avec ce que les autres disent de toi et tu n’es plus touché par les paroles blessantes.
Que les autres croient ce qu’ils veulent, toi, tu sais ce qui est vrai  POUR TOI.
Mais le bouclier ne doit pas prendre toute la place car il peut te couper du monde.
3. Ta quête est celle de la vérité
Est-ce que ce que je pense est vrai ? Je peux choisir d’aller chercher la vérité.
Ça ne sert à rien de croire des histoires désagréables car cela rend malheureux. Il est important que tu saches qu’on ne peut pas tout savoir et que ce que l’on croit  est souvent faux.
Cherche toujours à savoir plutôt qu’à croire et tu trouveras la vérité.
4. Fais toujours de ton mieux
Il arrive qu’on se sente parfois fatigué alors le « mieux » n’est pas très haut. Mais ce qui compte est de faire de son mieux aujourd’hui. Si tu fais toujours de ton mieux jour après jour, tu n’auras pas à t’en vouloir si parfois tu ne réussis pas quelque chose. Et surtout, tu n’auras pas de regret !

dimanche 20 décembre 2015

Soirée découverte CNV à ne pas rater...

Soirée découverte de la CNV
Un art de vivre avec soi et avec les autres selon le processus de Marshall Rosenberg
Michelle Guez

Date : 20 janvier 2016Horaire : 19h00 à 21h30
Lieu : Maison d´Accueil Adèle Picot
39 rue Notre Dame des Champs
75006 Paris

Tel. M. Guez: 06 12 97 55 94
Accueil sur place à partir de 18h45 (sans inscription à l´avance).
Participation aux frais de la salle : 10 € (6€ pour les personnes en recherche d´emploi et/ou soucis de budget)


https://blu169.mail.live.com/?tid=cmFFQ7zvim5RG-FQAiZMGTcg2&fid=flinbox

A JOUER EN FAMILLE POUR APPRIVOISER NOS EMOTIONS ;)

A OFFRIR A NOEL ET DES MOMENTS A PARTAGER EN FAMILLE:

Le jeu des émotions monstres...


http://www.pourpenser.fr/newsletter-115-preview.html

samedi 19 décembre 2015

Conférence de Jeanne SIAUD-FACCHIN

voir le lien suivant:

http://www.rencontres-perspectives.fr/jeanne_siaud-facchin.htm

le 16 février

Jeanne Siaud-Facchin est psychologue clinicienne et psychothérapeute. Ancienne attachée des hôpitaux de Paris et de Marseille, elle a créé Cogito’Z, le premier centre européen de psychologie intégrative (Marseille, Avignon, Paris, Lyon) : www.cogitoz.com
Par ailleurs, spécialiste reconnue des surdoués, Jeanne Siaud-Facchin a apporté une contribution décisive dans la compréhension et la prise en charge des enfants, ados et adultes surdoués. L’association Zebra, centre de ressources pour surdoués a été créée à son initiative ( www.zebrasurdoue.com )
Depuis plusieurs années, Jeanne Siaud-Facchin s’est également engagée personnellement et professionnellement dans la Méditation de Pleine Conscience, Mindfulness, une pratique d’une efficacité inouïe pour apaiser le mental, réguler les émotions, se reconnecter avec soi même, pour vivre chaque moment de vie, pleinement.
Elle a également créé un site ressource sur la Pleine Conscience : www.meditez.com et des programmes pour les enfants et les adolescents, les programmes Mindful UP.

Auteur de nombreux ouvrages et articles scientifiques, conférencière, enseignante à l’université, formatrice, Jeanne Siaud-Facchin a une approche de la psychologie résolument intégrative et contemporaine, une psychologie positive orientée vers les ressources de chacun. 

mardi 8 décembre 2015

De l'art abstrait...

A l'aide des 3 couleurs primaires et une ficelle... voici les résultats...











Les émotions ....

A l'aide d'un fusain, les élèves ont dessiné les différentes émotions répertoriées en classe et ressenties au moment de l'exercice de la météo intérieure:
la peur, la joie, la tristesse, la colère, le dégoût






Spectacle de NOËL... Au royaume des singes...

C'est un film de Walt Disney.
date de sortie: 11 novembre 2015
Réalisé par Mark Linfield et Alastair Fothergill
genre: documentaire

Voici le synopsis:

Les réalisateurs de Chimpanzés nous entraînent dans la jungle profonde d'Asie du Sud au coeur de la la forêt humide primaire du Sri Lanka, où vivent les macaques à toque dont la hiérarchie sociale est des plus strictes. La vie peut s'avérer belle, la nourriture abondante et la sécurité assurée si tant est que l'on soit né au plus haut de l'échelle sociale. Mais pour Maya et son nouveau-né, la lutte est quotidienne. Il leur faudra beaucoup d'ingéniosité, de travail et un peu de chance pour espérer changer leur place dans le monde. Découvrez un royaume où rien n'est jamais acquis!

SEANCE DE NATATION

Bonjour chers parents,

Les séances de natation débuteront mardi prochain. Elles se dérouleront le matin et le trajet se fera en car.

Veuillez prévoir dans un sac à dos:
- un bonnet de bain
- une serviette
- un maillot de bain
- un paquet de mouchoirs

Serait-il également possible que votre enfant ait des chaussures et des vêtements faciles à retirer?
Merci pour votre compréhension.

Mme Gokoglan

mardi 1 décembre 2015

La gestion de la colère... un excellent article

http://familycoach-pro.com/2015/11/30/laisser-exprimer-les-coleres/

Laisser exprimer les colères, faut-il mettre des limites?

Lors d’une de mes consultations, une maman partage avec moi son souci de savoir ce qui est bien de faire au sujet des colères de sa petite de 4 ans.
« Personnellement je suis assez d’accord avec l’’idée de la laisser extérioriser ses colères plutôt que d’essayer des les contenir, mais mon mari pense que si nous la laissons faire, elle ne saura jamais se contenir ou se maîtriser notamment dans des situations où il n’est pas de bon ton de se mettre dans tous ses états. Je ne sais pas trop comment gérer ses 2 points de vues que je trouves justes. »
Est-ce que parfois on ne peut pas tout simplement dire NON à la colère?
colère
Effectivement il y a des limites à poser.  Il est important de faire la distinction entre:
  1. Poser des limites aux émotions, et
  2. Poser des limites aux expressions de ces émotions.
S’il n’est pas favorable à l’enfant de le limiter dans ses émotions, en lui laissant le message que avoir des colères, des chagrins, des frustrations est négatif, il est très constructif pour lui d’apprendre que, l’expression de ses émotions, c’est-à-dire que
« les comportements que j’agis pour démontrer mes émotions ont des limites imposées par la présence des autres, ma propre sécurité et celle des autres, mon intégrité physique et celle des autres, le respect des lieux dans lesquels je me trouve, la culture dans laquelle je vis, ainsi que le bien-être des autres. »
Cela paraît être un programme très chargé, mais cela signifie aussi que lorsque j’apprends à exprimer mes émotions, j’apprends aussi à me situer dans mon environnement et à faire preuve de respect de celui-ci.
Ainsi il est très important en tant que parents, que nous apprenions à nos enfants que être en colère,
  1. c’est normal et sain à la fois,
  2. qu’il vaut toujours mieux le dire et l’exprimer que le garder pour soi au fond de soi ET que dans le même temps,
  3. il existe toute une panoplie de façon de l’exprimer sans porter préjudice aux autres;
Cela nous rappelle à nous-mêmes que nous sommes aussi responsables de ne pas faire vivre aux autres une colère ou des frustrations qui ne leur appartiennent pas et en particuliers à nos enfants que nous brusquons souvent à cause de choses qui ne leur appartiennent pas.
Connaître une large panoplie de façons d’exprimer ses sentiments et ses émotions est un gage de bonne gestion émotionnelle.
Voici 6 comportements parentaux qui vont aider nos enfants à modéliser la gestion émotionnelle.
1.Favoriser la connection profonde avec eux.
Les bébés apprennent à gérer leur mal-être en étant portés et réconfortés, bercés jusqu’à ce que l’équilibre interne soit retrouvé. Même quand les enfants grandissent, lorsqu’ils “se dérèglent” intérieurement, qu’ils sont déconnectés d’avec leur environnement, la reconnection avec nous les aident à se réguler intérieurement.
Parfois, sans mot, savoir juste les prendre dans les bras et les serrer fort. Même s’ils gigotent dans tous les sens, cette proximité physique intense et bienveillante les aident à se calmer.
2. Gérer nous-mêmes l’expression de nos colères en sachant prendre le temps de respirer et de se calmer plutôt que de crier ou de claquer une porte, ou quelque autre comportement bruyant et parfois effrayant pour nos enfants. Gardons à l’esprit que les enfants apprennent de nous. Si nous crions sur eux, ils apprennent à crier sur nous et les autres, si nous parlons respectueusement, ils apprennent à parler respectueusement. Chaque fois que vous démontrez à votre enfant comment stopper un comportement agressif en cas de colère, votre enfant apprend à gérer son propre comportement.
3. Accepter et reconnaître les émotions de nos enfants, même lorsqu’elles nous paraissent démesurées (ce qui est très souvent le cas mais pas pour eux).
“ma puce, je suis désolée que ce soit si difficile pour toi, je suis désolée que cela ne se passe pas comme tu voudrais, je sais que c’est très décevant que ta soeur ne veuille pas jouer avec toi..etc »
Quand l’empathie devient notre réponse systématique, nos enfants apprennent que les émotions ne sont ni mauvaises ni dangereuses et qu’ils peuvent les laisser venir comme elles arrivent.
Notre soutien leur apprend qu’on peut traverser ces mauvais moments, comme des turbulences et que lorsque les émotions sont passées, le soleil revient toujours et avec lui la joie et le plaisir. C’est là que commence l’apprentissage de la résilience.
4. Guider les comportements plutôt que punir.
Souligner le mauvais comportement, menacer, punir n’aide en rien l’enfant à gérer ses émotions, aussi fréquentes ou terrifiantes soient-elles. Les mots humiliants sont si vite sortis: “ tu te comportes comme un bébé, t’es ridicule, tu vas quand même pas pleurer pour cela, t’es méchant, je vais te donner une bonne raison de pleurer, tu devrais avoir honte, non mais regarde-toi? Même ta petite soeur se comporte mieux….la liste serait très simple à allonger…
Nous utilisons les réponses qui nous été données mais il est temps de changer cela et de donner les bonnes réponses à nos enfants.
Les punitions lors de crises de colères ou turbulences émotionnelles ne donnent que plus de mauvais comportements. Pourquoi?
Parce que punit, votre enfant garde ses émotions, les accumulent; dépassé et effrayé par l’ampleur que cela prend, il se déchaîne. Ses crises sont à la mesure du désordre interne qu’il ressent. Alors qu’il ne cherche qu’un moyen de cesser ces sensations désagréables, envoyé seul dans sa chambre ou puni, l’enfant ressent un profond désarroi et sentiment de culpabilité.
Plutôt que punir, aidons l’enfant à rester sur la bonne voie et lui apprenant à traverser les turbulences en toute sécurité jusqu’à ce qu’il puisse le faire par lui-même.
Gardons toujours à l’esprit: nos enfants sont des petits être humains en formation! Ils sont faits comme nous, sauf qu’ils n’ont aucune expérience de comment se gérer.
Soyons donc patients, et soyons sûrs que le temps passé à les accompagner intensément quand ils sont petits est du temps gagné plus tard à explorer d’autres aspects de la vie que celui des comportements de base.
5. Aider l’enfant à se sentir en sécurité dans l’expression de ses émotions, même quand nous limitons ses comportements.
Ce que nous disions au départ: limiter les comportements en fonction de sa sécurité, de la bienséance et de son environnement: « tu peux être en colère aussi fort que tu veux, mais je ne te laisserai pas me taper, je ne te permets pas de cracher sur ton frère, tu n’es pas autorisé à lancer tes jouets à travers la chambre, tu ne peux pas te rouler par terre dans le magasin, etc… »
Votre enfant en colère n’est pas au mauvais garçon, ni une vilaine fille, juste un enfant en proie à un trop plein d’émotions ingérable sur le moment. Si vous pouvez rester compréhensif et compatissant, votre enfant se sentira en sécurité pour exprimer le fond de son émotion, en pleurant ou finalement, exprimant ce qui le met dans cet état. Cela lui évitera d’agir agressivement sur son environnement ou sur lui-même.
Lorsque l’enfant se met à pleurer, à parler dans de gros sanglots, il est sur le chemin de la résolution de la crise. Car derrière la colère se cache toujours une frustration, une déception, un chagrin quelconque. Cette tristesse une fois atteinte et exprimée, la colère n’a plus sa raison d’être et donc disparaît d’elle-même.
6. Se comporter en tant qu’adulte. (comme celui qui sait gérer sans crainte)
Crier sur un enfant en colère, tenter à tout prix de faire cesser cette colère ou encore l’envoyer se calmer seul dans sa chambre, donne le message à l’enfant que nous ne sommes pas capables de gérer ce qui lui arrive, que nous sommes nous-mêmes dépassés ou effrayés par ses émotions. Alors il commence à prendre sur lui-même ses frustrations mais devient très demandeur, exigeant, autoritaire. Comme pour dire: « tu ne peux pas me soutenir, me rassurer  ok mais alors tu vas faire autre chose pour moi, je vais te tenir à mes côtés autrement! »
Mais le plus dangereux pour leur développement est qu’ils se ferment à nous, cessant de venir partager leurs larmes, leurs peurs pour tout prendre à leur compte.  
Cela veut dire qu’ils cessent d’être en confiance avec leurs vulnérabilités, avec leur droit d’être ou de se sentir moins bien. Ils s’endurcissent en gardant leurs défenses le plus souvent actives. Cela veut dire qu’ils ne peuvent plus se détendre. Alors que le développement normal de leur âge devrait leur permettre d’explorer ce qui leur fait peur pour y faire face, ces enfants renfermés apprennent les stratégies d’évitement ou d’attaque; dans l’apprentissage de la relation avec l’autre, plutôt que d’apprendre à travailler sur le conflit avec ses pairs ainsi qu’à expérimenter le risque d’essayer de nouvelles choses, l’enfant en auto-défense permanente se montre intraitable, inaccessible, parfois tout puissant.
Plus tard, ces enfants deviennent des adolescents en manque de compétences sociales et relationnelles; ils se retrouvent souvent dans des groupes d’exclus socialement, ou optent pour des comportements d’auto sabotage par peur de la confrontation avec les autres et notamment avec le monde des adultes susceptibles de leur apprendre la vie professionnelle et responsable.
Est-il important de mettre de mots sur nos émotions ? Oui certainement, très certainement oui! Cependant il n’est pas utile d’insister pour que l’enfant en pose. Et pour l’aider, il est bien d’en poser nous-mêmes. Il en apprendra ainsi le vocabulaire.
Un geste tendre, un regard complice et compréhensif vaut l’ensemble du lexique des mots!
Les mots viendront au moment où vous vous y attendez le moins.
Restez surtout attentifs à ne jamais nier une émotion aussi incompréhensible soit-elle pour vous. Les émotions sont toujours vraies pour celui qui les vit.
Des émotions feintes ou sur jouées sont le résultats souvent d’un manque d’attention ou alors du déni systématique.
Gardez à l’esprit et enseignez le à vos enfants que:
  • Les émotions ne sont pas mauvaises au contraire elles sont une richesse de l’être humain
  • Le plus souvent nous n’avons pas le choix de leur apparition mais nous avons toujours le choix de la façon dont nous les traversons et les exprimons
  • Lorsque nous sommes confortables et confiants avec nos émotions, nous pouvons les vivre profondément; ensuite elles se dissipent. Cela nous donne plus de contrôle sur nos comportements.  Savoir que ça existe ET que cela passe est plutôt rassurant.
Les enfants élevés dans ces convictions apprennent à contrôler leurs émotions, parce qu’ils ont une vie émotionnelle saine et non pas parce qu’on leur a enseigné à ne pas les ressentir, ou qu’ils ont été punis, humiliés ou encore culpabilisés à cause de  leur façon d’exprimer leurs émotions.
Cela semble difficile à faire ? Ca l’est!!! Ca l’est car nous n’avons nous-mêmes pas eu l’opportunité d’apprendre ces choses et que pour la plupart nous avons appris à contenir ou à éviter nos émotions. Alors l’expression des émotions de nos enfants nous apparaissent comme inappropriées, mal venues surtout face à l’extérieur, souvent source d’angoisses. En tous les cas, et pour la plupart des parents, ce sujet représente le 1er grand combat d’éducation après les pleurs inexpliqués et les problèmes de sommeil des nourrissons.
Nos enfants deviennent alors une seconde chance pour nous de faire cet apprentissage et ainsi se sentir plus en confiance avec nous-mêmes et face aux émotions des autres.
L EQUILIBRE FAMILIAL EST A LA PORTEE DE TOUS
MMH

lundi 23 novembre 2015

méditer pour les enfants...

http://www.mieux-vivre-autrement.com/la-meditation-pour-les-enfants-ils-en-redemandent.html 

 

1 – La météo intérieure pour se relier à soi

Cet exercice est le premier à mettre en place lors d’une séance de méditation pour un enfant. Il peut aussi être réalisé n’importe quand. Posez cette question à votre enfant :
Quel temps fait-il à l’intérieur de toi ?
Les enfants n’ont aucun mal à trouver des mots liés à la météo pour décrire ce qu’ils ressentent au fond d’eux-mêmes ; pour traduire leurs émotions, leurs pensées et leurs sensations physiques. Nous parlons souvent de la météo au quotidien avec eux, ou les enfants entre eux ; la pluie et le beau temps, le vent et les nuages, le chaud, le froid sont autant de notions connues, repérées, qui provoquent des réactions et des sensations au niveau du corps comme de l’esprit.
Quand on lui pose la question, il s’interroge sur ce qu’il éprouve. C’est le premier mouvement pour qu’il s’entraîne à être présent à ce qu’il vit, à se recentrer sur ce qu’il ressent.

2 – Faire l’arbre pour se réaligner et se poser

Pour cet exercice de méditation pour les enfants, la question posée est la suivante :
Imagine que tu es un arbre.
Il se tient debout, les yeux fermés, et ressent que ses pieds, posés bien parallèlement au sol, s’enfoncent très loin, comme des racines. Elles s’ancrent très profondément dans la terre, et il se sent ainsi solidement attaché. Puis, tout doucement, il relève les bras au dessus de la tête et s’étire très fort, très loin, comme si ses bras étaient les branches de cet arbre qui essaye d’attraper le soleil.
Alors, demandez-lui de ressentir tout ce qu’il se passe dans son corps, du bout de ses doigts tout là haut dans le ciel, jusqu’au bout de ses pieds tout au fond dans la terre.
Cet exercice permet à l’enfant de se réaligner, de se redresser, d’avoir l’impression d’occuper tout l’espace et ainsi de se sentir plus fort, plus majestueux. Bien ancré dans le sol, il fait une pause et en ressort plus confiant.

3 – La petite fourmi pour ressentir et se détendre

C’est exercice est l’adaptation du « balayage corporel » (body scan, en anglais) qui se pratique aussi en méditation avec les adultes. Contrairement à l’idée reçue, ce n’est pas du tout un exercice de détente ou de relaxation, mais un entrainement au déchiffrage de nos sensations. Il entraîne à devenir un expert de son corps, comme le pianiste fait ses gammes au piano pour habituer ses doigts à filer sur le clavier.
Dites à votre enfant de s’allonger confortablement, et racontez-lui l’histoire de la petite fourmi.
Il faut y mettre le ton juste, et n’oublier aucun détail. Mais aussi, bien insister sur les adjectifs qualificatifs liés aux cinq sens.
C’est donc l’histoire d’une petite fourmi qui commence à grimper sur le gros orteil du pied, le gros doigt de pied, oups, ça chatouille un petit peu. Mais la petite fourmi continue, et pouf, elle tombe au milieu des doigts de pieds. Oulala, c’est bizarre, c’est un peu humide et chaud par ici. Alors elle remonte sur l’autre doigt de pied et ainsi de suite (il faut détailler)…
Et puis elle se retrouve sur le dessus du pied et là, elle est soulagée, c’est quand même plus facile d’avancer. Elle arrive ensuite sur la jambe, au niveau de la cheville, et là c’est la forêt pour cette toute petite fourmi, il a des petites herbes aussi grandes qu’elle par-ci par-là. Et puis soudain, une grosse montagne, c’est le genoux… et ainsi de suite. Avec le nombril dans lequel elle tombe. Les battements du cœur qui bougent et font beaucoup de bruit. La bouche qui est humide. Le nez, qui souffle comme un gros ventilateur, puis l’aspire comme un gros aspirateur. Et ainsi de suite jusqu’aux cheveux, dans lesquels elle se perd dans cette jungle peuplée de grandes lianes… Et hop elle tombe parterre !
À la fin de l’histoire, la majorité des enfants sont tellement happés par leur imagination qu’ils cherchent la petite fourmi partout. Et surtout, ils se sentent complètement détendus. Parce que durant l’histoire, et alors qu’ils se concentraient sur toutes les sensations de leurs corps, imaginant cette petite fourmi leur grimpant dessus, ils ont sécrété des endorphines, les hormones du bien-être.
Vous le voyez, la méditation n’a rien de compliqué ni de sorcier et s’adapte avec délice aux enfants. Un peu d’imagination et beaucoup d’attention, permettent de développer le rapport au corps et d’apaiser l’esprit. Faites en l’expérience, les enfants en redemandent…
Source : psychologies.com

mardi 17 novembre 2015

un nouveau lien pour accompagner les enfants...

Camille, manager de CHAPS, est également coach pour parents.
« Parents, je mets ici à votre disposition un fascicule qui je l’espère de tout coeur vous aidera à guider vos enfants face aux événements terribles de vendredi soir.  Il a été développé par Kim John Payne (M.ED) après une fusillade tragique survenue dans une école de son quartier aux USA. Kim est conseiller familial mondialement reconnu et auteur du best-seller « Parents, tout simplement ».
N.B. Une version imprimable de ce fichier sera disponible bientôt.
Face à la tragédie du 13 Novembre à Paris :
Un chemin pour guider nos enfants simplement
Par Kim john Payne, M.ED & Davina Muse, LMHC


http://www.lasalleparis.com/face-a-la-tragedie-un-chemin-pour-guider-nos-enfants-simplement/

lundi 16 novembre 2015

un nouveau lien sur francetv.éducation

"Certaines émissions télévisées, en particulier les journaux d’informations, ne sont pas adaptées à la jeunesse. « Jusqu’à 10-12 ans, les parents ne devraient pas laisser un enfant seul devant la télévision au moment des actualités. C’est une première précaution », affirme Harry Ifergan, psychologue et spécialiste du développement de l'enfant. Pour autant, difficile d’échapper pour les plus jeunes aux images des attentats à Paris qui ont pris une large place dans l’ensemble des journaux télévisés, qui ont relayé de terribles images de cette agression."



http://education.francetv.fr/actualite/article/attentats-du-vendredi-13-novembre-comment-parler-des-images-violentes-aux-enfants#xtor=EPR-191200-[ftveduction_-_event]-20151116-[Une]

samedi 14 novembre 2015

un conte pour mettre du baume au coeur...

Un beau conte ... pardonnez les erreurs d'orthographe dans le texte...

https://claires2c.wordpress.com/2015/01/08/petit-conte/

PARLER AUX ENFANTS...

Voici un lien pour ceux et celles qui souhaitent en savoir plus:

http://www.cahiers-pedagogiques.com/Des-ressources-pour-parler-avec-les-enfants#.VkeBPiMsvoF.facebook

Avec textes, documents, discours à avoir selon l'âge des enfants... réalisé par le cercle de recherche et d'action pédagogiques
avec les numéros spéciaux de YOUPI, MON QUOTIDIEN et PHOSPHORE

Concernant les événements du 13 novembre...Parler aux enfants...

"Nos enfants ont des antennes. Si nous sommes affectés par un événement, comme c'est le cas pour beaucoup d'entre nous aujourd'hui, il est important de mettre des mots dessus (même avec un bébé) sinon, il ressent l'émotion et ne sait que faire de ce ressenti. Avant 3/4 ans, un enfant est égo-centré : il se pense responsable de ce qui se passe autour lui. D'où l'importance de lui dire, avec des mots simples, qu'il se passe des événements tragiques qui affectent beaucoup les adultes de la maison, nous sommes tristes/en colère/apeurés (ou toute autre émotion), c'est la façon dont je vis cette situation qui génère cette émotion. Toi, tu n'y es pour rien dans cette situation, tu la ressens car mes émotions viennent vibrer à l'intérieur de toi.
Pensez à couper les médias, les promenades dans la nature sont une source inépuisable d'ondes de vie.
Partageons beaucoup d'Amour, de tendresse les uns pour les autres afin de créer les conditions de la résilience."

L'association Mater'native

vendredi 13 novembre 2015

comment parler aux enfants de ce qui se passe actuellement...

Sur le site des "Maternelles" :
"Suite aux attaques terroristes survenues à Paris: Nous rediffusons les conseils que nous apportait Serge Tisseron en janvier dernier, sur la manière de réagir face aux questions des enfants."

Vidéo à écouter en bas de cette page:

http://www.france5.fr/emissions/les-maternelles

Photo de classe...

Bonjour,

Je réponds à une demande d'un parent. Les photos de classe auront bien lieu cette année.
Elles ne sont pas réalisées en même temps que les photos individuelles.

Cordialement.

Mme Gokoglan

RAPPEL : remise des livrets le 28 novembre

Bonjour,

Je refais un petit rappel, la remise des livrets aura lieu samedi 28 novembre, le matin.
Les horaires vous seront communiqués la semaine prochaine.

Cordialement.

Mme Gokoglan

mardi 10 novembre 2015

Un parent disponible pour vendredi?

Bonjour,

Si un parent est disponible pour vendredi, il est le bienvenu pour nous accompagner à la Pléiade.
Le film commence à 13h45 et dure 1h20.
Si vous êtes intéressé, veuillez m'écrire un mail à : ecoleducoteaucachan@hotmail.fr
Merci.

Cordialement.

Mme Gokoglan

lundi 9 novembre 2015

Cinéma vendredi 13 novembre



Les élèves de CP.B iront au cinéma La Pléiade, pour la projection du film ERNEST ET CÉLESTINE, le vendredi 13 novembre à 13h45. Cette première projection fait partie du projet ÉCOLE ET CINÉMA. Le tarif est de 2.50 euros et il sera entièrement financé par la coopérative de la classe. 


Cordialement.

Mme Gokoglan

dimanche 8 novembre 2015

Pierre Rabhi... "ouvrir les jeunes sur le vivant"

http://www.vousnousils.fr/2015/11/02/pierre-rabhi-lecole-devrait-reconnecter-lenfant-a-la-nature-578083

être fier de ses erreurs, les considérer comme des expériences...

 Voici un article, un père qui témoigne et qui applique une nouvelle façon de considérer les erreurs ...

http://papapositive.fr/ce-que-jaurais-aime-entendre-etant-enfant-a-propos-de-lechec/

Quelques extraits de l'article:
  • "tu peux recommencer autant que tu veux.
  • tu peux rire de tes échecs.
  • tes échecs n’en sont pas si tu apprends quelque chose d’eux.
  • chaque échec consolide un peu plus ce que tu es et ce que tu deviendras.
  • c’est en cherchant les échecs que tu comprendras qui tu es.
  • les échecs sont des exercices pour s’améliorer.
  • échouer c’est gagner car on apprend plus de ses erreurs que de ses succès.
  • ceux qui cachent leurs échecs ne sont pas authentiques et pas en paix avec eux.
  • au plus tu parleras des échecs, au plus tu avanceras.
  • les échecs rapprochent les humains et incitent à la collaboration.
  • quand c’est trop beau pour être vrai, c’est que ce n’est pas vrai.
  • une réussite ne vaut qu’au nombre des échecs rencontrés pour l’obtenir.
  • fais ce qui te plait, écoute ton cœur.
  • sois fier de dire « j’ai échoué ».
  • tout est expérience.
Et encore mieux :
  • si tu n’échoues pas, tu fais fausse route.
  • part à la rencontre de tes échecs.
  • on est la somme de nos faiblesses et de nos forces.
  • un échec permet de développer nos forces.
  • un échec est l’occasion de prendre une nouvelle route. C’est l’aventure !
  • un échec n’est pas définitif, tout comme une réussite, ce qui compte c’est de progresser."




samedi 7 novembre 2015

Rappel: remise des livrets...

Bonjour,

Je souhaite vous rappeler que la remise des livrets aura lieu le samedi 28 novembre à partir de 9 heures.
Je distribuerai très bientôt  un document mentionnant l'heure de passage de votre enfant, document qui sera collé dans le cahier de liaison.

Cordialement.

Mme Gokoglan

Comment rebrancher le cerveau face au stress...

https://www.youtube.com/watch?v=CNSylSf02WU


"le stress, est la réaction d'adaptation de l'organisme face à toute stimulation pour assurer notre survie et c'est une glande dans notre cerveau, l'amygdale, qui y veille par la sécrétion de cortisol ou d'adrénaline."

"stress: frustration, contrainte, ..."

"Trois attitudes possibles: fuite, attaque ou immobilisme."

"Un enfant n'a pas encore ce qu'il faut dans son cerveau pour réguler le stress "

"introduire un rapport de force ou..."

"A lutter pour être le plus fort, tout le monde y perd"

"Mettre des limites, c'est comme mettre un couvercle sur du lait qui bout"

" Et si j'éteignais le gaz..."

"mettre des mots sur les émotions"

"nous avons convoqué Dame Ocytocine"

"développer le cerveau préfrontal, qui permet l'empathie, la maîtrise de soi, la régulation émotionnelle, l'anticipation, la responsabilité"

"Le plus important est que nous soyons en lien"

Ce qui est prévu pour lundi...

Relire la leçon n°19 et savoir écrire les 7 mots:

dans, est, les, des, au, aussi, elle

mercredi 4 novembre 2015

SUR FRANCE TV EDUCATION ... CULTIVER L'ENVIE D'APPRENDRE...

http://education.francetv.fr/education-civique/cm2/video/des-conditions-extremes-en-kirghizie-ou-a-madagascar-les-chemins-de-l-ecole

"A 2400 mètres d’altitude, au cœur de la Kirghizie, Erbol,12 ans, harnache son cheval Bououroul. Il est 5 heures du matin et la température ne dépasse pas -40°C. Chaque jour, il part pour 13km de trajet et met plus de deux heures pour rejoindre son école, et chaque jour il met environ deux heures pour retourner chez lui après les cours. La route étant enneigée, il doit veiller à ce que son cheval ne se casse pas la patte.
A Madagascar, Francklyn et Olivier ont 12 et 14 ans, ils parcourent chaque dimanche matin plus d’une vingtaine de kilomètres de marche pour accéder à leur école. Durant trois heures et demie voire quatre heures, ils sillonnent une piste de sable ocre, traversent la forêt d’Ambatry et affrontent le « Malaingadra », un endroit dangereux habité par des hommes mal attentionnés susceptibles de les voler et de les capturer à tout moment. "
Réalisateur(s) : Emmanuel Guionet
Producteur(s) : Winds, MachaProd, France Télévisions
Auteur(s) : Marie-Claire Javoy
Année : 2014



 
2. nov., 2015

Notre cerveau ne comprend pas la négation !

Souvent nous utilisons la négation dans notre communication, et surtout avec nos enfants. Ce qui est drôle c'est que le cerveau lui, visualise l'action de la phrase et ne comprend pas la négation. Vous dites à votre enfant, ne cours pas ! et son cerveau va lui envoyer l'image de lui en train de courir et ne retiendra que l'action de cette phrase.
C'est à ce moment là, que nous pouvons nous écrier, "mais il fait exprés, je viens de lui dire de ne pas le faire!" Voilà enfin la réponse à votre question chers parents, non, votre enfant ne fait pas exprès, il a juste comme nous adulte un cerveau qui ne comprend pas la négation.
Préférez la formule positive, ne cours pas, devient marche doucement.
C'est en effet de cette manière que fonctionne notre cerveau, il a besoin de formulations positives pour passer ensuite à l'action. Vous verrez au début, ça sera un vrai exercice de style, vous serez surpris de constater comment il n'est pas facile de trouver les formules positives. La bonne nouvelle, c'est que nous pouvons muscler notre cerveau  il finira par s'approprier cette manière de faire positive et vous changerez complétement votre communication.

lundi 26 octobre 2015

Isabelle Filliozat...

Voici des liens, qui sont des extraits des interventions d'Isabelle Filliozat, riches en informations sur soi
et les enfants:


https://www.youtube.com/watch?v=8dp9MZF9XHA




mercredi 14 octobre 2015

E.P.S. demain

Bonjour,

Demain, jeudi 15 octobre, les élèves auront cours d'EPS avec M. Desplanques exceptionnellement.
Par ailleurs, je vous informe via le cahier de liaison qu'une course d'endurance est organisée au parc Raspail vendredi 16 octobre. Il est prévu que les C.P. B courent vendredi à 14h.

cordialement.

Mme Gokoglan

lundi 5 octobre 2015

MOT DU JOUR


Jeux pratiqués en classe pour apprendre à lire

Voici quelques exercices que nous avons déjà expérimentés en classe, qui permettent à l'élève d'être dans le mouvement et le jeu tout en apprenant:

- le jeu de la tempête:
Écrire des syllabes sur des morceaux de papier. Puis reconstituer le mot ensemble en insistant sur chaque son. Puis nous disons "tempête" nous mélangeons toutes les syllabes et l'élève doit reconstituer le mot le plus rapidement possible. Cette deuxième tentative est chronométrée. Puis une troisième fois, on chronomètre également. L'objectif étant non pas de dépasser le camarade, mais de se dépasser soi-même, de dépasser le temps chronométré juste avant.
Ce même exercice peut être pratiqué avec des mots pour constituer une phrase.

- jeu de mime:
Ecrire sur une feuille des mots tirés des leçons de lecture.
Puis mimer un mot avec les gestes de Borel-Maisonny. L'enfant doit retrouver le mot dans la liste et l'écrire sur sa feuille ou ardoise.

- jeu de lecture:
Pour les lecteurs avancés,
- proposer de lire un mot sur deux
- commencer à lire par la fin pour aller au début du texte ou de la phrase
- C'est l'adulte qui lit, il oublie un mot et l'enfant a pour objectif de le retrouver

- je montre, je cache
Ecrire une phrase, la lire et la  répéter plusieurs fois, la chanter, taper dans les mains en la répétant
Puis, l'adulte prend la feuille où est inscrite la phrase, et il efface un mot.
L'objectif est d'écrire le mot qui a été effacé.



Photo individuelle vendredi 9 octobre

Bonjour chers parents,

Les élèves seront pris en photo vendredi, soit seuls, soit avec leurs frères et soeurs (s'ils sont à l'école élémentaire), ou bien ils peuvent ne pas être pris en photo selon votre demande.
Les documents à remplir sont dans le cahier de liaison.

Cordialement.

Mme Gokoglan