mardi 21 juin 2016

FETE DES ENFANTS

Bonjour chers parents,

La fête des enfants est reportée au 27 juin.

Merci et belle soirée à tous.

Mme Gokoglan

dimanche 12 juin 2016

FETE DES ENFANTS LE JEUDI 30 JUIN

La fête se déroulera le jeudi 30 juin de 13h30 à 15h45.
Nous vous remercions d'apporter dès le début de la semaine: boissons (sauf canettes et bouteilles en verre), gâteaux achetés dans le commerce et les gâteaux faits maison, qui sont aussi les bienvenus le jour de la fête.
Comme l'an dernier, les anciens élèves qui sont disponibles pourront venir prêter main forte en s'adressant à Lucile, la gardienne.
Autre rappel de la directrice: "Vous devez récupérer tous les vêtements oubliés qui seront exposés à côté de la loge le lundi 4 et le mardi 5 juillet, dernier jour d'école."

Mme Gokoglan

samedi 11 juin 2016

Des parents qui demandent des temps de relaxation à l'école

http://ecole-et-relaxation.com/html/dossier-delegues.html

Tiré du lien ci-dessus:
"Saisissons bien sûr cette occasion ! Formez  une liste de parents dont un des objectifs sera de demander et d’aider à la  mise en place de moments de relaxation (yoga, sophrologie, gi gong…) pendant le temps scolaire ou peri-scolaire du midi ou soir (temps du midi, étude ou garderie du soir).
Vous contribuerz ainsi activement au bien-être des élèves et par conséquent au bon fonctionnement de la classe
Rappelons, en ce qui concerne les écoles, que le temps peri-scolaire est géré et financé par les mairies. Le rôle des citoyens électeurs est donc fondamental !
Ces ateliers de relaxation pourront être intégrés à
      - un projet d’éducation à la santé
      - un projet de prévention des toxicomanies
      - un projet de prévention de la violence
pour lesquels enseignants, parents et animateurs du temps péri-scolaire pourront être parties prenantes.

Voir et faire connaître les reportages télés et les articles sur notre page Le yoga à l'école.
Lire l'article du Monde de l'Education : Le souffle de la relaxation. "

vendredi 10 juin 2016

12 stratégies de mémorisation… pour réactiver les informations efficacement

 Tiré du site APPRENDRE A EDUQUER

http://apprendreaeduquer.fr/strategies-de-memorisation/?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=news+de+la+semaine

12 stratégies de mémorisation… pour réactiver les informations efficacement

Pour mémoriser de nouvelles informations, certains facteurs comme la répétition, les images mentales, les associations, le jeu et l’imagination sont très importants.

1.L’exagération

Plus on exagère la représentation d’une chose dans nos images mentales, mieux on les mémorise. Cela peut passer par des images visuelles (des énormes objets, des chiffres gigantesques…), des gestes (avec es bras pour représenter un énorme atome par exemple) ou les images auditives (faire une grosse voix, donner le plus de détails possibles…).

2.La pensée positive

On apprend mieux quand on se sent mieux. L’évocation en pensée d’un moment source d’émotions positives au moment de la mémorisation est donc une stratégie de mémorisation efficace à long terme.
Kevin Finel, conférencier et enseignant spécialisé en hypnose, propose une manière de tirer profit du fonctionnement du cerveau pour apprendre plus efficacement, basée sur les ancrages positifs volontaires.
Proposez un objet à l’enfant ou demandez-lui de choisir un objet. L’idéal est que cet objet soit transportable et à portée de main en cas de besoin (un stylo présent dans la trousse ou un bijou toujours porté par exemple).
Demandez à l’enfant de  le placer dans son champ de vision, proche de lui.
Demandez à l’enfant de se rappeler un souvenir positif, au cours duquel il s’est senti bien. L’enfant ferme les yeux et se concentre. Cela peut être son meilleur souvenir, la fois où il s’est senti le plus heureux. Demandez-lui de vous le décrire : avec qui était-il ? où ? quand ? quelles paroles ont été prononcées ? de quelles odeurs se souvient-il ? peut-il sentir le vent, la chaleur sur sa peau ? Ces questions l’aideront à s’imprégner de cette sensation de bonheur, de bien-être.
Demandez à l’enfant d’ouvrir les yeux et de fixer l’objet choisi comme stimulus (stylo, trousse, bijou…).
L’enfant ferme à nouveau les yeux et retrouve à nouveau son souvenir positif, jusqu’à éprouver la sensation de plaisir lié à ce souvenir. Il est important que l’enfant stimule ses 5 sens pour le rappel du souvenir : la vue (revoir la scène comme un film), l’ouïe (entendre des sons, des paroles), l’odorat, le toucher (une caresse, un contact agréable), le goût.
Demandez à l’enfant d’ouvrir les yeux à nouveau et de fixer l’objet choisi comme stimulus (stylo, trousse, bijou…).
Recommencez une dernière fois : l’enfant ferme les yeux et se concentre encore plus fortement sur son souvenir. Il retrouve les images mentales, les pensées, le ressenti, ce qu’il a vu, entendu, goûté, touché…
Il ouvre les yeux et fixe une dernière fois l’objet. Vous pouvez lui dire une phrase de conclusion avant que l’émotion positive ne retombe : « Maintenant, tu viens de créer un lien entre ton souvenir et l’objet en question. Chaque fois que tu regarderas cet objet, tu retrouveras tes sensations de bien-être. » ....

Suite sur le site APPRENDRE A EDUQUER
http://apprendreaeduquer.fr/strategies-de-memorisation/?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=news+de+la+semaine


jeudi 2 juin 2016

Comment aider les enfants à relâcher la pression en fin de journée?


http://apprendreaeduquer.fr/enfants-relachent-pression-fin-de-journee/?utm_source=wysija&utm_medium=email&utm_campaign=news+de+la+semaine

Kim John Payne, auteur de Simplicity parenting,  propose le concept de « soupapes de sécurité » comme des temps de respiration offerts aux enfants dans la journée pour qu’ils arrivent en fin de journée dans des dispositions propices au coucher et au sommeil.
Ces soupapes de sécurité sont l’occasion de laisser s’échapper la pression émotionnelle que les enfants emmagasinent au cours d’une journée. Ces temps de respiration sont propices au sentiment de sécurité émotionnelle et à la connexion.
Selon Kim John Payne, deux ou trois soupapes de sécurité offerts au cours de la journée aideront les enfants à s’apaiser et à mieux s’endormir au moment du coucher.
En cela, Payne rejoint Christophe André quand il parle de « réseau par défaut ». Il existe des zones cérébrales qui s’activent seulement quand on ne fait rien, quand on n’a pas d’activités intentionnelles. C’est le « réseau par défaut ». Chaque fois que notre cerveau est au repos, il se passe quelque chose :
  •  des souvenirs de vie sont traités
  •  plusieurs expériences sont mises en corrélation
  •  le cerveau donne du sens à ce qui a été vécu.
oici 6 idées pour aider les enfants à relâcher la pression, inspirées par le livre Simplicity Parenting :

1. Une sieste dans la journée (ou un vrai temps calme)

Pour les bébés et les jeunes enfants, les siestes sont des moments structurants. Mais même les enfants et les adolescents peuvent en retirer des bénéfices. Une demie-heure à une heure de temps calme dans le milieu de la journée a une valeur ressourçante, qu’elle soit passée à dormir ou juste à se reposer.
Le temps calme peut être accompagné d’une musique douce, classique, relaxante ou peut être l’occasion d’une méditation.
Quand les enfants n’ont plus de temps dédié au repos à l’école, on peut maintenir cette habitude pendant le week-end ou les vacances. L’idée est de se réserver un temps calme quand on peut.

2. Un moment de jeux libres et actifs (en plein air si possible)

Transporter des cailloux, creuser un trou, construire avec des bâtons de bois, attraper des lézards, grimper aux arbres, faire une collection… les jeux libres (sans directives de la part des adultes) et actifs sont de véritables soupapes de sécurité pour les enfants de tout âge (même les adolescents).
Toutes les activités dans lesquelles les enfants peuvent s’oublier (« être dans le flow ») sont propices au relâchement de la pression et au calme mental nécessaire pour traiter les événements de la journée.

3. Allumer une bougie comme un rituel

Payne propose d’allumer une bougie à un moment précis de la journée chaque jour, comme un rituel qui marque le passage d’un temps à un autre. Par exemple, on peut allumer une bougie avant le repas et l’éteindre à la fin du repas.
La flamme d’une bougie peut avoir un effet apaisant, méditatif, presque hypnotique.

4. Une histoire partagée

Les histoires sont de véritables moments de calme. Les événements de la journée et les questions en suspens peuvent trouver des issues dans les aventures des héros. Les enfants peuvent se projeter dans les personnages et trouver des réponses à leurs questionnements. Les histoires viennent nourrir l’esprit et l’imagination des enfants. Tout est dans les contes : la vérité, la beauté, le bien et le mal, les conflits, les secondes chances, les erreurs, les promesses, la trahison, le courage…
Les histoires que les enfants entendent influencent les histoires qu’ils se raconteront à eux-mêmes.
Les histoires ont leur propre rythme, leur propre musicalité du langage qui viennent bercer les enfants.
La répétition d’une même histoire peut avoir un caractère fondateur : les angoisses sont soulagées à travers la répétition, l’histoire devient un pilier constructeur de la personnalité.
Les histoires lues aux enfants (même à ceux sachant lire) est donc un moment de sécurité émotionnelle, de calme et de connexion.

5. Un moment de silence avant le dîner

Un moment de connexion peut se faire dans le silence. Un moment de silence juste avant le diner du soir peut représenter une bonne soupape de sécurité. Cela peut commencer par 10 secondes de silence avant d’augmenter la durée graduellement.
Ce moment de silence partagée et rituel est l’occasion de relâcher la tension.

6. Les questions des émotions (au moment du coucher)

Il est possible de prendre un temps de connexion au moment du coucher des enfants. Une fois qu’ils sont au lit, on peut s’asseoir sur le rebord du lit et leur poser des questions qui serviront de soupape de sécurité pour évacuer les tensions de la journée passée tout en terminant sur une préparation positive à la journée du lendemain :
  • quels ont été tes trois moments de la journée les plus agréables ?
  • qu’est-ce qui t’a rendu triste aujourd’hui ?
  • qu’est-ce que tu as fait de courageux aujourd’hui ?
  • qu’est-ce qui va être le plus difficile demain ?
  • et qu’est-ce que tu as hâte de faire demain ?
Poser ces quelques questions permet de poser des mots sur la journée passée car il suffit de nommer une émotion pour sentir décroître peur et colère.
Ces questions sont l’occasion pour nous parents d’écouter, d’être les témoins des émotions (agréables et désagréables) de nos enfants, de les valider comme réelles et légitimes.

………………………………………………………………………..
Source : Simplicity Parenting de Kim John Payne (disponible en anglais seulement)

mercredi 1 juin 2016

Qui est responsable de mes émotions?

un lien très intéressant, qui à travers la BD, nous évoque les thèmes liés à nos comportements...
"LES CHAUSSETTES PLAIDENT NON COUPABLE"
Merci à Armella!!!

http://conscience-quantique.com/les-chaussettes-plaident-non-coupable/

Emotions_BD_non_coupable_01Emotions_BD_non_coupable_02Emotions_BD_non_coupable_03Emotions_BD_non_coupable_04