lundi 23 novembre 2015

méditer pour les enfants...

http://www.mieux-vivre-autrement.com/la-meditation-pour-les-enfants-ils-en-redemandent.html 

 

1 – La météo intérieure pour se relier à soi

Cet exercice est le premier à mettre en place lors d’une séance de méditation pour un enfant. Il peut aussi être réalisé n’importe quand. Posez cette question à votre enfant :
Quel temps fait-il à l’intérieur de toi ?
Les enfants n’ont aucun mal à trouver des mots liés à la météo pour décrire ce qu’ils ressentent au fond d’eux-mêmes ; pour traduire leurs émotions, leurs pensées et leurs sensations physiques. Nous parlons souvent de la météo au quotidien avec eux, ou les enfants entre eux ; la pluie et le beau temps, le vent et les nuages, le chaud, le froid sont autant de notions connues, repérées, qui provoquent des réactions et des sensations au niveau du corps comme de l’esprit.
Quand on lui pose la question, il s’interroge sur ce qu’il éprouve. C’est le premier mouvement pour qu’il s’entraîne à être présent à ce qu’il vit, à se recentrer sur ce qu’il ressent.

2 – Faire l’arbre pour se réaligner et se poser

Pour cet exercice de méditation pour les enfants, la question posée est la suivante :
Imagine que tu es un arbre.
Il se tient debout, les yeux fermés, et ressent que ses pieds, posés bien parallèlement au sol, s’enfoncent très loin, comme des racines. Elles s’ancrent très profondément dans la terre, et il se sent ainsi solidement attaché. Puis, tout doucement, il relève les bras au dessus de la tête et s’étire très fort, très loin, comme si ses bras étaient les branches de cet arbre qui essaye d’attraper le soleil.
Alors, demandez-lui de ressentir tout ce qu’il se passe dans son corps, du bout de ses doigts tout là haut dans le ciel, jusqu’au bout de ses pieds tout au fond dans la terre.
Cet exercice permet à l’enfant de se réaligner, de se redresser, d’avoir l’impression d’occuper tout l’espace et ainsi de se sentir plus fort, plus majestueux. Bien ancré dans le sol, il fait une pause et en ressort plus confiant.

3 – La petite fourmi pour ressentir et se détendre

C’est exercice est l’adaptation du « balayage corporel » (body scan, en anglais) qui se pratique aussi en méditation avec les adultes. Contrairement à l’idée reçue, ce n’est pas du tout un exercice de détente ou de relaxation, mais un entrainement au déchiffrage de nos sensations. Il entraîne à devenir un expert de son corps, comme le pianiste fait ses gammes au piano pour habituer ses doigts à filer sur le clavier.
Dites à votre enfant de s’allonger confortablement, et racontez-lui l’histoire de la petite fourmi.
Il faut y mettre le ton juste, et n’oublier aucun détail. Mais aussi, bien insister sur les adjectifs qualificatifs liés aux cinq sens.
C’est donc l’histoire d’une petite fourmi qui commence à grimper sur le gros orteil du pied, le gros doigt de pied, oups, ça chatouille un petit peu. Mais la petite fourmi continue, et pouf, elle tombe au milieu des doigts de pieds. Oulala, c’est bizarre, c’est un peu humide et chaud par ici. Alors elle remonte sur l’autre doigt de pied et ainsi de suite (il faut détailler)…
Et puis elle se retrouve sur le dessus du pied et là, elle est soulagée, c’est quand même plus facile d’avancer. Elle arrive ensuite sur la jambe, au niveau de la cheville, et là c’est la forêt pour cette toute petite fourmi, il a des petites herbes aussi grandes qu’elle par-ci par-là. Et puis soudain, une grosse montagne, c’est le genoux… et ainsi de suite. Avec le nombril dans lequel elle tombe. Les battements du cœur qui bougent et font beaucoup de bruit. La bouche qui est humide. Le nez, qui souffle comme un gros ventilateur, puis l’aspire comme un gros aspirateur. Et ainsi de suite jusqu’aux cheveux, dans lesquels elle se perd dans cette jungle peuplée de grandes lianes… Et hop elle tombe parterre !
À la fin de l’histoire, la majorité des enfants sont tellement happés par leur imagination qu’ils cherchent la petite fourmi partout. Et surtout, ils se sentent complètement détendus. Parce que durant l’histoire, et alors qu’ils se concentraient sur toutes les sensations de leurs corps, imaginant cette petite fourmi leur grimpant dessus, ils ont sécrété des endorphines, les hormones du bien-être.
Vous le voyez, la méditation n’a rien de compliqué ni de sorcier et s’adapte avec délice aux enfants. Un peu d’imagination et beaucoup d’attention, permettent de développer le rapport au corps et d’apaiser l’esprit. Faites en l’expérience, les enfants en redemandent…
Source : psychologies.com

mardi 17 novembre 2015

un nouveau lien pour accompagner les enfants...

Camille, manager de CHAPS, est également coach pour parents.
« Parents, je mets ici à votre disposition un fascicule qui je l’espère de tout coeur vous aidera à guider vos enfants face aux événements terribles de vendredi soir.  Il a été développé par Kim John Payne (M.ED) après une fusillade tragique survenue dans une école de son quartier aux USA. Kim est conseiller familial mondialement reconnu et auteur du best-seller « Parents, tout simplement ».
N.B. Une version imprimable de ce fichier sera disponible bientôt.
Face à la tragédie du 13 Novembre à Paris :
Un chemin pour guider nos enfants simplement
Par Kim john Payne, M.ED & Davina Muse, LMHC


http://www.lasalleparis.com/face-a-la-tragedie-un-chemin-pour-guider-nos-enfants-simplement/

lundi 16 novembre 2015

un nouveau lien sur francetv.éducation

"Certaines émissions télévisées, en particulier les journaux d’informations, ne sont pas adaptées à la jeunesse. « Jusqu’à 10-12 ans, les parents ne devraient pas laisser un enfant seul devant la télévision au moment des actualités. C’est une première précaution », affirme Harry Ifergan, psychologue et spécialiste du développement de l'enfant. Pour autant, difficile d’échapper pour les plus jeunes aux images des attentats à Paris qui ont pris une large place dans l’ensemble des journaux télévisés, qui ont relayé de terribles images de cette agression."



http://education.francetv.fr/actualite/article/attentats-du-vendredi-13-novembre-comment-parler-des-images-violentes-aux-enfants#xtor=EPR-191200-[ftveduction_-_event]-20151116-[Une]

samedi 14 novembre 2015

un conte pour mettre du baume au coeur...

Un beau conte ... pardonnez les erreurs d'orthographe dans le texte...

https://claires2c.wordpress.com/2015/01/08/petit-conte/

PARLER AUX ENFANTS...

Voici un lien pour ceux et celles qui souhaitent en savoir plus:

http://www.cahiers-pedagogiques.com/Des-ressources-pour-parler-avec-les-enfants#.VkeBPiMsvoF.facebook

Avec textes, documents, discours à avoir selon l'âge des enfants... réalisé par le cercle de recherche et d'action pédagogiques
avec les numéros spéciaux de YOUPI, MON QUOTIDIEN et PHOSPHORE

Concernant les événements du 13 novembre...Parler aux enfants...

"Nos enfants ont des antennes. Si nous sommes affectés par un événement, comme c'est le cas pour beaucoup d'entre nous aujourd'hui, il est important de mettre des mots dessus (même avec un bébé) sinon, il ressent l'émotion et ne sait que faire de ce ressenti. Avant 3/4 ans, un enfant est égo-centré : il se pense responsable de ce qui se passe autour lui. D'où l'importance de lui dire, avec des mots simples, qu'il se passe des événements tragiques qui affectent beaucoup les adultes de la maison, nous sommes tristes/en colère/apeurés (ou toute autre émotion), c'est la façon dont je vis cette situation qui génère cette émotion. Toi, tu n'y es pour rien dans cette situation, tu la ressens car mes émotions viennent vibrer à l'intérieur de toi.
Pensez à couper les médias, les promenades dans la nature sont une source inépuisable d'ondes de vie.
Partageons beaucoup d'Amour, de tendresse les uns pour les autres afin de créer les conditions de la résilience."

L'association Mater'native

vendredi 13 novembre 2015

comment parler aux enfants de ce qui se passe actuellement...

Sur le site des "Maternelles" :
"Suite aux attaques terroristes survenues à Paris: Nous rediffusons les conseils que nous apportait Serge Tisseron en janvier dernier, sur la manière de réagir face aux questions des enfants."

Vidéo à écouter en bas de cette page:

http://www.france5.fr/emissions/les-maternelles

Photo de classe...

Bonjour,

Je réponds à une demande d'un parent. Les photos de classe auront bien lieu cette année.
Elles ne sont pas réalisées en même temps que les photos individuelles.

Cordialement.

Mme Gokoglan

RAPPEL : remise des livrets le 28 novembre

Bonjour,

Je refais un petit rappel, la remise des livrets aura lieu samedi 28 novembre, le matin.
Les horaires vous seront communiqués la semaine prochaine.

Cordialement.

Mme Gokoglan

mardi 10 novembre 2015

Un parent disponible pour vendredi?

Bonjour,

Si un parent est disponible pour vendredi, il est le bienvenu pour nous accompagner à la Pléiade.
Le film commence à 13h45 et dure 1h20.
Si vous êtes intéressé, veuillez m'écrire un mail à : ecoleducoteaucachan@hotmail.fr
Merci.

Cordialement.

Mme Gokoglan

lundi 9 novembre 2015

Cinéma vendredi 13 novembre



Les élèves de CP.B iront au cinéma La Pléiade, pour la projection du film ERNEST ET CÉLESTINE, le vendredi 13 novembre à 13h45. Cette première projection fait partie du projet ÉCOLE ET CINÉMA. Le tarif est de 2.50 euros et il sera entièrement financé par la coopérative de la classe. 


Cordialement.

Mme Gokoglan

dimanche 8 novembre 2015

Pierre Rabhi... "ouvrir les jeunes sur le vivant"

http://www.vousnousils.fr/2015/11/02/pierre-rabhi-lecole-devrait-reconnecter-lenfant-a-la-nature-578083

être fier de ses erreurs, les considérer comme des expériences...

 Voici un article, un père qui témoigne et qui applique une nouvelle façon de considérer les erreurs ...

http://papapositive.fr/ce-que-jaurais-aime-entendre-etant-enfant-a-propos-de-lechec/

Quelques extraits de l'article:
  • "tu peux recommencer autant que tu veux.
  • tu peux rire de tes échecs.
  • tes échecs n’en sont pas si tu apprends quelque chose d’eux.
  • chaque échec consolide un peu plus ce que tu es et ce que tu deviendras.
  • c’est en cherchant les échecs que tu comprendras qui tu es.
  • les échecs sont des exercices pour s’améliorer.
  • échouer c’est gagner car on apprend plus de ses erreurs que de ses succès.
  • ceux qui cachent leurs échecs ne sont pas authentiques et pas en paix avec eux.
  • au plus tu parleras des échecs, au plus tu avanceras.
  • les échecs rapprochent les humains et incitent à la collaboration.
  • quand c’est trop beau pour être vrai, c’est que ce n’est pas vrai.
  • une réussite ne vaut qu’au nombre des échecs rencontrés pour l’obtenir.
  • fais ce qui te plait, écoute ton cœur.
  • sois fier de dire « j’ai échoué ».
  • tout est expérience.
Et encore mieux :
  • si tu n’échoues pas, tu fais fausse route.
  • part à la rencontre de tes échecs.
  • on est la somme de nos faiblesses et de nos forces.
  • un échec permet de développer nos forces.
  • un échec est l’occasion de prendre une nouvelle route. C’est l’aventure !
  • un échec n’est pas définitif, tout comme une réussite, ce qui compte c’est de progresser."




samedi 7 novembre 2015

Rappel: remise des livrets...

Bonjour,

Je souhaite vous rappeler que la remise des livrets aura lieu le samedi 28 novembre à partir de 9 heures.
Je distribuerai très bientôt  un document mentionnant l'heure de passage de votre enfant, document qui sera collé dans le cahier de liaison.

Cordialement.

Mme Gokoglan

Comment rebrancher le cerveau face au stress...

https://www.youtube.com/watch?v=CNSylSf02WU


"le stress, est la réaction d'adaptation de l'organisme face à toute stimulation pour assurer notre survie et c'est une glande dans notre cerveau, l'amygdale, qui y veille par la sécrétion de cortisol ou d'adrénaline."

"stress: frustration, contrainte, ..."

"Trois attitudes possibles: fuite, attaque ou immobilisme."

"Un enfant n'a pas encore ce qu'il faut dans son cerveau pour réguler le stress "

"introduire un rapport de force ou..."

"A lutter pour être le plus fort, tout le monde y perd"

"Mettre des limites, c'est comme mettre un couvercle sur du lait qui bout"

" Et si j'éteignais le gaz..."

"mettre des mots sur les émotions"

"nous avons convoqué Dame Ocytocine"

"développer le cerveau préfrontal, qui permet l'empathie, la maîtrise de soi, la régulation émotionnelle, l'anticipation, la responsabilité"

"Le plus important est que nous soyons en lien"

Ce qui est prévu pour lundi...

Relire la leçon n°19 et savoir écrire les 7 mots:

dans, est, les, des, au, aussi, elle

mercredi 4 novembre 2015

SUR FRANCE TV EDUCATION ... CULTIVER L'ENVIE D'APPRENDRE...

http://education.francetv.fr/education-civique/cm2/video/des-conditions-extremes-en-kirghizie-ou-a-madagascar-les-chemins-de-l-ecole

"A 2400 mètres d’altitude, au cœur de la Kirghizie, Erbol,12 ans, harnache son cheval Bououroul. Il est 5 heures du matin et la température ne dépasse pas -40°C. Chaque jour, il part pour 13km de trajet et met plus de deux heures pour rejoindre son école, et chaque jour il met environ deux heures pour retourner chez lui après les cours. La route étant enneigée, il doit veiller à ce que son cheval ne se casse pas la patte.
A Madagascar, Francklyn et Olivier ont 12 et 14 ans, ils parcourent chaque dimanche matin plus d’une vingtaine de kilomètres de marche pour accéder à leur école. Durant trois heures et demie voire quatre heures, ils sillonnent une piste de sable ocre, traversent la forêt d’Ambatry et affrontent le « Malaingadra », un endroit dangereux habité par des hommes mal attentionnés susceptibles de les voler et de les capturer à tout moment. "
Réalisateur(s) : Emmanuel Guionet
Producteur(s) : Winds, MachaProd, France Télévisions
Auteur(s) : Marie-Claire Javoy
Année : 2014



 
2. nov., 2015

Notre cerveau ne comprend pas la négation !

Souvent nous utilisons la négation dans notre communication, et surtout avec nos enfants. Ce qui est drôle c'est que le cerveau lui, visualise l'action de la phrase et ne comprend pas la négation. Vous dites à votre enfant, ne cours pas ! et son cerveau va lui envoyer l'image de lui en train de courir et ne retiendra que l'action de cette phrase.
C'est à ce moment là, que nous pouvons nous écrier, "mais il fait exprés, je viens de lui dire de ne pas le faire!" Voilà enfin la réponse à votre question chers parents, non, votre enfant ne fait pas exprès, il a juste comme nous adulte un cerveau qui ne comprend pas la négation.
Préférez la formule positive, ne cours pas, devient marche doucement.
C'est en effet de cette manière que fonctionne notre cerveau, il a besoin de formulations positives pour passer ensuite à l'action. Vous verrez au début, ça sera un vrai exercice de style, vous serez surpris de constater comment il n'est pas facile de trouver les formules positives. La bonne nouvelle, c'est que nous pouvons muscler notre cerveau  il finira par s'approprier cette manière de faire positive et vous changerez complétement votre communication.